vendredi 13 septembre 2013

Ecrire régulièrement

En lisant l'interview sur le blog Flynn SFF d'Anthony Boulanger, je me suis rappelé  avec désespoir et dépit que j'étais loin d'écrire tous les jours. Ce n'est pas la première fois où je lis cet excellent conseil que je n'ai jamais réussi à appliquer. Je suis plutôt sur le mode à écrire entre deux et cinq fois par semaine et encore, je compte les relectures dans les transports en commun avec ma liseuse.
Par rapport à un écrivain qui applique ce précepte, il ne faut pas se cacher que mon travail avance beaucoup plus lentement. On peut en juger en comparant la bibliographie de 2008 à 2013 d'Anthony Boulanger et la mienne. Et en effet, tout devient plus difficile. On n'a pas de rite qui rend plus facile l'entrée dans le texte. Ayant oublié en partie nos idées, on met plus de temps à se replonger dans le texte. On est plus sujet aux pannes d'écriture. Et surtout, il y a un gros risque de découragement devant un texte qui n'avance pas.
Mais c'est encore plus dangereux d'essayer d'utiliser une recette inapplicable pour soi.
Je modifie cette injonction en disant qu'il faut écrire régulièrement. Et cela n'en reste pas moins difficile.

mercredi 7 août 2013

Romans précédents

Un petit inventaire des romans "terminés" qui ont précédé "de Feu et de Sang".
- Gomans : un roman de SF qui est resté au stade de premier jet. Quelques concepts intéressants, mais loin d'être un roman.
- L'ombre de justice : Suite à son envoi en 2000, l'éditeur (Nestiveqnen) m'a conseillé de commencer par écrire des nouvelles. Trop de maladresses pour être publiable et de toute façon, mon niveau d'écriture n'était pas suffisant à l'époque pour mener cette opération à bien. Tout en continuant à travailler sur des romans, j'ai publié quelques nouvelles dans des fanzines. La nouvelle Tu ne mentiras point met en scène les deux héros du roman.
- Les bannis : un roman de Fantasy, qui est resté sagement sur mon disque dur, sans être passé par la case lecture par des bêta-lecteurs.
- Tlaloc :  un roman de Fantasy, qui a été envoyé à des bêta-lecteurs, mais finalement abandonné. Parmi tous les problèmes identifiés, ma fin était très abrupte.
- Les livres d'Ariel : un roman de Fantasy qui a été refusé par une petite maison d'édition (Mille saisons) en 2006. Le retour m'a fait comprendre que j'étais encore loin d'avoir une version publiable. Je n'ai donc pas renvoyé mon texte à d'autres maisons d'édition.
- L'ultime Marche : un roman de Fantasy qui a été refusé par une petite maison d'édition (Sombres Rets) en 2010. Le retour bien que négatif était plutôt encourageant. Je me suis cependant rendu compte  que les corrections à faire étaient très importantes. Le projet était trop ambitieux et j'ai préféré attaquer un roman avec une intrigue plus simple.
- Les Esprits du Halo : un roman de Fantasy achevé en novembre 2013 et actuellement en soumission chez quelques éditeurs.
Comme on peut le constater, j'ai beaucoup de projets inaboutis, mais j'espère avoir le temps un jour ou l'autre de les terminer.

samedi 13 juillet 2013

Date de fin prévue de Feu et de Sang

Quand puis-je espérer avoir terminé mon roman ?
Etats des lieux :
Le scénario principal est achevé.
Le tiers du roman est écrit.
Il faut finaliser le système de magie.
Il faut concevoir quelques intrigues secondaires.
Il faut faire trois passes avec les bêtas-lecteurs.

La première évaluation est la vitesse d'écriture. Si mon roman augmente de deux pages par semaine et qu'il me faut encore écrire 200 pages. Cela me prendra deux années.
La deuxième évaluation est le nombre de passes de bêta-lecteurs. En raison de neuf mois pour chaque passe et l'une d'elle est commencée depuis trois mois. Cela me prendra deux années.
Les signes concordent : si tout va bien, mon roman sera terminé pour septembre 2015.



vendredi 12 juillet 2013

De la malédiction des prologues

J'avais rédigé un formidable prologue. Bien sûr, il y avait des détails à revoir et j'étais prêt à le retravailler, mais un bêta-lecteur a trouvé l'arme imparable  en estimant que le chapitre qui suivait avait davantage d'impact sans ce prologue. Je vais le garder pour le moment, mais il passera à la trappe d'ici quelques mois. Et voilà 1 500 mots (plus de 5 pages !) de perdus...
Pour le roman précédent, j'avais été contraint aussi de changer entièrement le prologue.
Un début de malédiction ? Sûrement !


jeudi 11 juillet 2013

Publicité et Marketing

Convaincu qu'il ne suffit pas d'écrire un bon roman, mais qu'il faut aussi le faire savoir, ce blog a pour but de le promouvoir.
Un petit bémol, pour l'instant, l'information n'a pas été diffusée et je suis le seul à y aller ou tout comme, mais c'est bien pratique pour voir d'un  seul coup d'oeil si un nouveau post a été publié sur mes blogs préférés. Et comme le roman ne sera pas terminé avant un an, le blog a le temps de monter en puissance.

mercredi 10 juillet 2013

Intrigue principale de Feu et de sang

Le royaume de Guerne doit faire face à une invasion des drillons, l'empire voisin. Disposant des redoutables chazets, de gros félins noirs, ceux-ci balaient les premières lignes de défense. Les seigneurs veulent partir se battre pour défendre le nord du royaume et suppriment le roi qui tergiverse. Tandis que les seigneurs partent pour une bataille qu'ils ne peuvent que perdre, les deux princesses, qui en perdant un père ont également perdu un protecteur, doivent lutter pour leur vie.

mardi 9 juillet 2013

Lancement du blog

De feu et de sang est un roman de fantasy. Son monde est assez proche de celui du trône de fer ou de l'univers de Gemmell : un monde de type moyenâgeux avec un peu de magie mais qui n'est pas primordiale, avec un système politique complexe ou le danger de fin du monde n'empêche pas les belligérants de s'entretuer.
27000 mots ont déjà été écrits, soit une centaine de pages d'un roman de poche. L'intégralité du scénario est écrit, mais il reste à développer certaines parties et compléter d'autres. Dans sa version finale, le roman devrait faire 80000 mots (300 pages d'un roman de poche). Le tiers du travail est donc fait.
Le blog va dévoiler les dessous du roman et tracer les avancées ou ses apparents reculs.