jeudi 20 janvier 2022

Prouver le libre arbitre

Il est très ardu de prouver l'existence du libre arbitre. Il ne sert à rien de vouloir argumenter sur la complexité du monde, car le hasard suffit à balayer des faibles probabilités de l'existence d'une conscience. Même si elle est faible, dans le cas contraire, on ne serait pas là pour l'observer. L'argument est frustrant, mais valide.  

On va devoir changer de stratégie et de ne pas essayer de prouver le libre arbitre, mais essayer de prouver qu'on dispose d'informations supplémentaires.

Une hypothèse hautement spéculative pourrait être que la pensée est capable de récupérer des informations laissées par d'autres pensées. Il pourrait être possible de supposer également l'existence de la  télépathie (la pensée est capable d'interagir avec d'autres pensées), mais par contre, on exclut au moins à grosse échelle l'action de la pensée sur la matière (La physique marche trop bien pour supposer l'existence d'une autre force).

On peut voir ce que cela peut donner dans l'exemple de sourcier. Le sourcier ne détecte pas l'eau. La pensée n'agit pas sur le monde physique. Par contre, il est capable de récupérer dans un lieu des informations qui lui permettent de localiser l'eau. En laboratoire, le sourcier ne trouve rien, ce qui semble pas forcément illogique car le sourcier ne peut pas sentir l'eau et il faudrait qu'il récupère dans ce nouveau lieu des informations récentes et qui évoluent très rapidement. En milieux naturel, ses pouvoirs pourraient fonctionner.

Ceci dit, ce n'est pas une excellente idée de se pencher dessus. Il existe trop d'explications plausibles pour expliquer leur prétendu don et il est pratiquement impossible de mener une expérience.

Il me reste donc à trouver les expériences où les effets seraient le plus facilement mesurables.

Bilan : EV : 68 000 mots (68%) UM : 120 EH : 61 JT : 20/20




mardi 4 janvier 2022

Rapport à l'écriture

 Je m'oblige à écrire régulièrement, mais je ne me mets aucune pression. J'ai un créneau possible tous les jours, mais il arrive que je sois contraint de faire autre chose durant ce temps dévolu à l'écriture. Et j'avoue que pendant ce créneau, je ne suis pas toujours très efficace, mais finalement cela fait aussi partie du plaisir. Pour autant, j'ai dû passer 300 jours sur l'année 2021 à écrire. Peut-être même plus, mais je ne comptais pas. En 2022, je vais ajouter un nouvel indicateur.

Cela fait bientôt dix ans que je n'ai rien publié, même pas dans un fanzine. Pourtant, l'envie d'écrire est toujours présente.

Et au final, même si aucun éditeur ne partage mon enthousiasme, je suis assez content du résultat obtenu. Je ne pensais même pas pouvoir obtenir des textes aussi aboutis.

Bilan : EV : 68 000 mots (62%) UM : 117 EH : 61 JT : 4/4